photographies de Sophie Chivet
Au fil des saisons Sophie Chivet a saisi les formes, la lumière, le vent qui fait doucement bouger les herbes. Inspirée par les poèmes d’Anna de Noailles, elle s’est laissée porter par la douceur tourangelle.
En partage avec les poèmes puissants et délicats, elle cherche l’éblouissement, la fragilité, l’irrémédiable.
C’est un mélange de réalisme et d’inaccessible; de sensations terriennes, de sensualité et de rêverie.
Odile Andrieu
poèmes de Anna de Noailles (1876-1933)
recueils :
Le cœur innombrable - 1901
Les éblouissements - 1907
photographies Sophie Chivet
texte Anna de Noailles
éditeur éditions de Sauroy
ce livre a été tiré à 600 exemplaires
dont 100 exemplaires numérotés de 1 à 100
et 100 exemplaires numérotés de I à C
genre photographie, monographie
illustrations couleurs
couverture cartonnée souple
format 17,5 cm x 17,5 cm x 0,5 cm
nombre de pages 47
poids 140g
date de parution mars 2010
ISBN 978-2-9534275-1-6
Chère Madame Chivet,
Non, ça fait un peu cérémonieux et trop poli pour être honnête.
Chère Sophie,
Trop familier.
Alors on va faire simple, vous avez une tête souriante et sympathique sur le web, ça devrait aller. Donc :
Sophie,
Quelques mots pour vous dire le plaisir que m’a procuré toute la journée la découverte chez Artazart de votre petit livre « La lumière des jours ». Je l’ai trimballé avec moi toute la journée, ouvert, caressé, refermé en attendant de l’ouvrir encore dix mètres plus loin sur un banc, à une table de café, dans le train… et je le tripote toujours ce soir :-) Seigneur la justesse et la subtilité de la lumière de ces photographies. Et puis vous avez utilisé le bel Agenda dont je raffole pour les jolis textes d’Anna de Noailles : comment résister ? C’était joué !
La première chose que j’ai vu dans la librairie, c’était ce petit livre gris accompagné de son tirage avec son étui pourtant un peu cochonné.
Ce doit être de l’histoire ancienne pour vous (2010, je crois ?). Les minuscules merveilles ne sont pas si courantes, j’avais envie de vous écrire quelques mots, pardonnez-moi ce mail un peu bête et sa familiarité.
Après un début laborieux, il faut terminer, ce qui risque d’être aussi difficile, du coup je vous laisse choisir : bien à vous, cordialement, amicalement ? Merci encore pour ce petit bijou et ce petit bonheur photographique.
Jimmy Péguet